Dévarim (Deutéronome) 31.12 [Vayeleq] : Le public lui-même [sera] la nation [d'Israël] : les hommes adultes, les femmes adultes et les enfants, et [aussi] l'étranger (invité) [partisan désirant HaShem] qui a été approuvé parce que gardien [de la Torah] de Moi et de toi selon [contenu du] témoignage [en affliction]. Ils écouterons afin que ils apprennent [plus de Torah pour les générations]. Ils auront considéré ["souveraineté"] de Lui HaShem [qui est] Elohékem. Ils préserveront [la Torah] pour produire selon intégralité des mots de la Torah (enseignement) de la même manière [que la Torah et que le témoignage].
• Le public à qui Moshéh ordonne à Josué de faire lecture de la Doctrine en présence de tout Israël lors du Soukot de chaque septième année, la Shémit'ah.
• Approuvé : cf. le chapitre "L'univers et la vie" section "Réparation et responsabilité" et le chapitre "La religion" section "L'offrande ou sacrifice d'Abraham" du livre "Le problème religieux" qui peut être la première oeuvre-enfant sans le témoignage lui-même comme don d'entrée (Vayiqra 5.17) ou toute chose indiquée en 4.3, 4.22, 4.27 et 4.13 en tant que "réparation" selon la "transgression" et selon la "nature" (cohen, chef, citoyen, groupe).
• Gardien de Moi et de toi : gardien de Ma (HaShem) Torah écrite et de ta (enseignant) Torah orale.
• Elohékem : Elohé additionné d'un Kaf-Mem signifie à peu près "ma (le scribe Moshéh parle) Eloha (force-vecteur intemporelle sans début ni fin ni localisation {qui m'a créé, me fait vivre et me fera mourir à terme échu via une instance ADN unique de HaShem (lois du vivant) de Elohim (lois de l'univers) qui est un ni plusieurs ni aucun}) [que j'ai transmis grâce à la Doctrine que m'a donné HaShem] à vous (peuple d'Israël qui a reçu le don de la Torah pour guider et protéger l'évolution de l'espèce en diffusant la plus grande vérité et les grandes lois de la survie pour le bien de tous sans nuire même aux méchants ni tuer d'humains ni détourner les destins ni faire souffrir les animaux ni dénaturer les choses, etc.)".
• Préserver la Torah écrite i.e. le texte original écrit, peu importe les interprétations, les traductions et les compréhensions à son sujet, peu importe le "niveau" d'étude, le texte original prévaut et il faut le préserver depuis toujours pour toujours, par duplication parfaite et intégrale sans rien changer, peu importe les gribouillis et les smileys qu'on y ajoute, la consonne prévaut, tel est le rôle du sofer.
• Préserver la Torah orale i.e. transmettre l'enseignement oral de l'enseignant qui a reçu de son enseignant afin de transmettre aux élèves et de produire des oeuvres selon cette Torah, tant orale qu'écrite. En effet, d'une part on reçoit un enseignement oral d'un être humain et d'autre part on reçoit la Torah écrite qu'on étudie et ces deux choses forment une nouvelle Torah, la Torah personnelle, c'est cela le don. L'homme recevant une demi-Torah et la femme une demi-Torah lors du don ou transmission afin de révéler leur propres Torah innée formant ainsi une Torah dite complète (cf. Séfer Mishlei 31).